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Formation à l'assemblée générale
En cette année d'action internationale de la Marche mondiale des femmes, le comité exécutif a opté pour une demi-journée de formation sur le thème de la Marche 2015 : « Libérer nos territoires ». Une intervenante du CPRF, Marie-Iris Légaré, ayant contribué de façon importante à la confection des outils d'éducation populaire sur ce thème, nous l'avons retenue pour notre temps de formation, le samedi 18 avril.
Une expérience familiale unique offerte et adaptée aux jeunes
Un 24 heures en famille développé pour des jeunes à partir de 6 à 17 ans accompagnés d'au moins un parent.
Quand ? Du samedi 7 au dimanche 8 mars 2015
Où ? Camp De-La-Salle, (50 places disponibles) à St-Alphonse de Rodriguez
Pour plus de détails, veuillez consulter le document ci-joint qui comprend l’invitation avec quelques détails sur l’organisation et ainsi que la feuille d’inscription.
Comme les places sont limitées, nous vous invitons à vous inscrire le plus rapidement possible.
Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à nous contacter au (514) 526-2673.
Depuis près de dix ans, vous êtes responsable du dossier de la traite humaine à la Congrégation de Notre-Dame. Comment en êtes-vous venue à œuvrer dans ce domaine?
Depuis ses tous débuts, l’orientation vers la justice a été au cœur de la mission de la Congrégation de Notre-Dame. Toutefois, au cours des dernières décennies, nous nous sommes engagées à prendre position et à agir plus visiblement pour la justice, la paix et la protection de la création. Dans le contexte de cette priorité, j’ai été nommée coordonnatrice de la justice sociale à la Congrégation et déléguée à UNANIMA International. Lorsque mon mandat s’est terminé, j’ai continué d’assumer la responsabilité du dossier relatif à la traite. C’est sans doute mon engagement de quinze années avec les Premières Nations de Colombie-Britannique qui m’a amenée à m’impliquer autant dans ce dossier. Ayant vu de près les conditions de vie des femmes autochtones, je sais pertinemment que les femmes autochtones sont beaucoup plus à risque que les femmes non autochtones d’être victimes de violence grave, assassinées, ou de tomber dans le piège de la traite et de la prostitution.